GPA... les bonnes questions.

Derrière tous les discours rassurants de notre gouvernement, se cache une tout autre réalité qui ne sera jamais développé par nos médias, ni par aucun des intervenants, politques impliqués dans ce genre de projets.

Les mass-médias vont toujours dans le même sens, afin de nous abrutir et de nous montrer le bien "fondé" des lois que nos hommes politiques veulent faire passer.

Voici deux reportages très interessants que j'ai trouvé sur le net, qui reprennent une émission d'Arte (chaine que peu de monde regarde quand je vois les personnes que je cotoies... ou malheuresement cela passe trop tard.) Si vous avez loupé l'émission la revoici.

Pour rappel :

La gestation pour autrui (GPA) est une méthode de procréation qui se pratique généralement en cas d'infertilité féminine liée à l'absence d'utérus, ou à sa déformation. La mère porteuse porte l'enfant d'un couple qui a fourni ses embryons. Elle ne fournit pas de contribution génétique, c'est-à-dire un ovule, mais prend en charge le « développement in utero » d'un embryon et, à la naissance, remet l'enfant à la « mère génétique » (ou « sociale » en cas de don d'ovules) et à son père.
En France, d'après le Comité consultatif national d'éthique, la gestation pour autrui n'est pas nécessairement une méthode de procréation médicalement assistée (PMA)1.
Du fait des variations de législations et de la liberté de circulation des personnes, un « tourisme procréatif » a pu se mettre en place, lequel pose ensuite parfois aux juridictions le problème de la transcription sur les actes d'état civil d'actes de naissance effectués à l'étranger. Cela pose des problèmes majeurs, notamment en raison de l'absence d'un droit international privé concernant les diverses techniques d'assistance médicale à la procréation.

 A vous de vous faire une idée.

Lorsque l'on voit la souffrance des enfants qui ne connaissent pas leur "vrai" parent... actuellement avec l'adoption, ils ont encore la possibilité, une chance de retrouver leur filiation... tandis que là, sincèrement... quelle sera leur identité ? Et quelle séquelle porteront ces enfants ?